C'est terminer la danse pour moi(libre)

Quittent la salle de bain doucement, Maryon traversa la chambre de son copain encore endormie sous les couvertures. Cela faisait quelques jours qu’ils étaient de retour à Mc Pherson et déjà son chirurgien lui avait donnez rendez vous pour un suivit de routine. Ayant passer la nuit avec Mike à l’Elite, Maryon c’était lever bien avant lui dés que son portable avait sonner.
Glissant son portable dans la poche de son manteau, elle prit l’écharpe verte et noire de son copain avant de la mettre autour de son cou et de revenir prés du lit. Posant sa main sur l’oreiller, elle l’embrassa avant de lui chuchoter doucement :

-J’y vais, je reviens après. Je t’aime.

L’embrassent une nouvelle fois, elle remonta les couvertures sur lui et quitta la chambre pour de bon. Traversant le couloirs, elle descendit les marches doucement alors que la lumières du salon était allumées. Passant la tete par l’arcade, elle vis Connelly vautré sur le divan en train de zapper les chaînes. Lui disant bonjours, Platard quitta la maison et alla vers la bouche de métro en béquilles. Depuis quelques jours, poser sa jambe lui était simplement impossible. Elle avait mal et qu’importe les cachets qu’elle prenait, cela ne lui faisait rien du tout.
Descendant sur le quai, elle glissa ses mains dans les poches de son manteau et resserra un peu l’écharpe autour de son cou alors que le métro se gara. Montant à bord, Maryon remercia un jeune homme qui lui laissa sa place prés des vitres.

-Chute ?

Demanda t’il alors que le métro partie en lui montrant sa jambe.

-Accident de danse je dirais.

Répondit-elle en sourient.

-Le métier qui rentre.

-Ou qui part à tout jamais à cause d’une flaque d’eau.

Répliqua t’elle toujours en sourient alors que le jeune homme brun face à elle perdit lui son sourire.

-J’suis désolé….

-Le soyez pas, c’est rien.

Laissant le métro la conduire vers le centre ville, elle souhaita une bonne journée au garçon lorsqu’il quitta le métro et continua jusqu'à St Jude. Descendant du métro, elle grimpa les marches et remis ses béquilles arriver en haut. Le simple fait de monter les marches lui était insupportable. Traversant la petite place, elle alla s’annoncer à l’accueil avant de ce voire envoyer vers les bureau un peu plus loin. S’asseyant sur une chaise dans le couloir prés d’une porte, Maryon éteignis son portable alors que la porte s’ouvrit sur son chirurgien.

-Bonjour Maryon !

-Bonjour docteur !

Fit-elle en se levant pour lui serrer la main avant d’entré dans le bureau.

-Désolé de t’avoir demander un rendez vous si vite mais quand j’ai appris que tu était de retour des USA j’ai absolument voulu te voir.

Expliqua t’il alors qu’elle posa ses béquilles contre le bureau avant de retirer son manteau et l’écharpe de Mike.

-A ce que je vois sa va pas mieux…

Fit il alors qu’elle lui répondit d’un geste de tete négatif.

-Elle me fait très mal depuis quelques jours si bien que je ne peut pas poser le pieds par terre et marcher sans les béquilles. Même monter les escaliers c’est un supplice.

Expliqua la jeune fille aux yeux gris en prennent place sur une chaise.

-As tu forcer chez toi ?

Demanda t’il en prennent place dans son fauteuil de l’autre coté du bureau de bois foncé.

-J’ai repris la danse avec mon prof mais il ne me faisait pas forcer et j’arrêter des que j’avait mal. De même à l’école, je faisait des aller-retour avec les barres comme ici.

-Ok aller viens, on va voir !

fit il en ce levant alors qu’elle le suivit vers la table d’examen. Prennent place sur la table, elle retira sa chaussures plate et pivota sur elle, pour mettre la cheville sur le banc d’osculation. Laissant l’homme manier sa cheville, Maryon serra les dents lorsqu’il appuya sur sa cicatrice.

-Je pense que ta cheville n’est plus casser mais plus fragile. C’est bien que tu n’es pas forcer que ce soit à l’école ou chez toi mais si un jour tu veux retrouvé ta capacité comme avant, tu dois arrêter de danser jusqu'à la fin de l’année scolaire au moins.

Expliqua t’il alors qu’elle devint livide.

-Je sais que ce que je te demande est horrible pour toi mais c’est pour ton bien. Tu peut faire quelques pas de danse mais rien de plus. Et je pense que une béquille comme appuis ne serra pas de refus ou une canne. Mais il faut absolument que tu arrête de danser Maryon sinon ta cheville n’auras pas le temps de se solidifier bien et tu auras toujours mal par la suite.

Baissant le regard sur sa cheville, Maryon jura mentalement contre Stéphanie avant de hausser les épaules.

-J’ai pas le choix on dirait…



Arrivant à Mc Pherson, la jeune fille était passer après sa consultation chez le pharmacien de l’hopital pour prendre ses médicaments et aussi une chevillére plus serrer pour la maintenir droite. Traversant l’école, elle prit naturellement le chemin de la salle de danse qu’elle ouvrit avant de fermer la porte derrière elle. Laissant son manteau sur un banc ainsi que l’écharpe, elle posa une béquille contre le mur et alla vers le plancher de danse qui était propre et ou aucune trace d’eau ne donner son image. Regardent les grandes vitres partout autour d’elle Maryon s’assit sur le plancher et laissa sa jambe gauche tendue. Sa béquille posé prés d’elle, la canadienne mis une main derrière elle pour ce tenir et regarda autour d’elle.

-Ta gagné pauvre conne, je peux plus danser à cause de toi, connasse !

fit-elle à voix haute pour Stéphanie. Cette fille lui avait ruiner sa vie en quelques secondes avec de l’eau.